Musique
James Ehnes joue Brahms
Clemens Schuldt, chef
James Ehnes, violon
Morawetz : Ouverture Carnaval*
Brahms : Concerto pour violon
Sibelius : Symphonie No 2**
Place aux envolées romantiques, aux émotions inspirées par la nature et la danse pour ce programme exaltant qui...
James Ehnes, violon
Morawetz : Ouverture Carnaval*
Brahms : Concerto pour violon
Sibelius : Symphonie No 2**
Place aux envolées romantiques, aux émotions inspirées par la nature et la danse pour ce programme exaltant qui...
Description
Clemens Schuldt, chef
James Ehnes, violon
Morawetz : Ouverture Carnaval*
Brahms : Concerto pour violon
Sibelius : Symphonie No 2**
Place aux envolées romantiques, aux émotions inspirées par la nature et la danse pour ce programme exaltant qui commence avec la rare Ouverture Carnaval de Morawetz. D’origine tchèque, mais canadien d’adoption, le compositeur fait resplendir l’orchestre, bientôt rejoint par James Ehnes, un des plus grands violonistes canadiens, qui nous livre sa lecture du somptueux Concerto de Brahms. Le compositeur magnifie l’âme tour à tour poétique, lyrique et endiablée d’un instrument qui n’était pas le sien, mais qu’il a fini par « apprivoiser » grâce à son fidèle ami, le virtuose Joseph Joachim. Le concerto s’achève par un irrésistible finale aux accents tziganes qui précède une autre œuvre d’inspiration folklorique. Dans sa Deuxième symphonie, c’est aux paysages et aux musiques de sa Finlande natale que Sibelius prête sa voix. Il les sublime dans un langage très personnel : une partition dense et passionnée qui l’a révélé comme l’un des compositeurs les plus marquants de son temps.
*Œuvre non-jouée lors des Matins en musique La Caisse.
**Seuls les 3e et 4e mouvements seront joués lors des Matins en musique La Caisse.
James Ehnes, violon
Morawetz : Ouverture Carnaval*
Brahms : Concerto pour violon
Sibelius : Symphonie No 2**
Place aux envolées romantiques, aux émotions inspirées par la nature et la danse pour ce programme exaltant qui commence avec la rare Ouverture Carnaval de Morawetz. D’origine tchèque, mais canadien d’adoption, le compositeur fait resplendir l’orchestre, bientôt rejoint par James Ehnes, un des plus grands violonistes canadiens, qui nous livre sa lecture du somptueux Concerto de Brahms. Le compositeur magnifie l’âme tour à tour poétique, lyrique et endiablée d’un instrument qui n’était pas le sien, mais qu’il a fini par « apprivoiser » grâce à son fidèle ami, le virtuose Joseph Joachim. Le concerto s’achève par un irrésistible finale aux accents tziganes qui précède une autre œuvre d’inspiration folklorique. Dans sa Deuxième symphonie, c’est aux paysages et aux musiques de sa Finlande natale que Sibelius prête sa voix. Il les sublime dans un langage très personnel : une partition dense et passionnée qui l’a révélé comme l’un des compositeurs les plus marquants de son temps.
*Œuvre non-jouée lors des Matins en musique La Caisse.
**Seuls les 3e et 4e mouvements seront joués lors des Matins en musique La Caisse.
